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orang-outan
4 février 2010

Les quatre saisons d'un gastéropode

Les quatre saisons d'un gastéropode


L'hiver
Tu te gèles les spermatos et même des fois les zoides, obligé de te dépioter popol à la pince a épiler, la bête s'est endormie, le missile à tête chercheuse s'est transformé en gastéropode sans coquille, une limace , que quand tu fais un ti pipi, tu as un gland caché sous dix huit centimètres de peau toute flapie, le temps que tu démaillotes le petit, tu t'éparpilles dans les toilettes, du sol au plafond, enfin bref l' hiver n'est pas juste casse couille, mais aussi empêcheur de pisser droit...


Le printemps
L
es odeurs, peut-être les tites meufs, sûrement même, le gastéropode se déploie, fait le beau dans le calbute, se fait remarquer en faisant son cirque, il plante le chapiteau en permanence. Même un travelo pas rasé d'une semaine l' inspire, toujours à l'affût d'un endroit chaud et humide...

La sève de saison lui monte à la tête du haut, pour ensuite redescendre à la tête du bas en circuit fermé quoi !! Un clébard collé à une clébarde l'inspire, il  devient poète, <<accepteriez vous chère amie que je vous déguste le frifri ? Non laissez faire le string je vais vous en débarrasser, attendez mamie que je remette mes quenottes en fibre de verre , quoi vous avez quatre vingts douze ans et alors !! quand on aime on ne compte pas>>

L'été
La limace devient cobra prêt à cracher son venin, les tites gueuses le savent bien, va y que je te fais rôtir les miches sur la playa, cinq minutes coté pile et autant coté face, le regard en tringle a rideaux semble te dire <<prend moi grand fou>>, toi comme un con tu creuses un trou dans le sable pour pouvoir te coucher à plat ventre et mater tranquillos, qu'a un moment donneé tu te disperses dans le sable humide avec des petits cris, sous les yeux moqueurs du passant qui passe et de la fille qui pouffe de rire...... Saaaaaaaaaalope vas !


L'automne

Piting!! Le temps de se réveiller, la bête se meurt doucement, se recroqueville dans le kangourou, se fait discrète, baisse la tête, même pas eu le temps de se gaver de tis clitos pour supporter un hibernage, pas une jolie frifri à déguster, juste des souvenirs de petits pistils de joufflues bien rebondies, de petits seins qui tiennent dans les mains avec des petits bouts dressés et durs 

Piting !! Je baise quand moi ?

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orang-outan
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